Luc est un véritable passionné de saut à l’élastique. Il est tombé un peu par hasard (mais pas trop) dans ce sport à sensations ! A l’origine, ce sportif est cordiste et passe donc la majorité de son temps dans les airs et dans le vide pour réaliser toutes sortes de travaux. Un jour, il a dû construire une structure de saut à l’élastique et n’a plus jamais quitté ce sport !

Pour en découvrir un peu plus sur ce mordu de saut à l’élastique, nous sommes allés à sa rencontre pour lui poser quelques questions. C’est par ici ! ? 

Dis-m’en plus sur les débuts !

Comment as-tu découvert ta passion pour le saut à l’élastique ? ?

Avec mon ancien travail en tant que cordiste, j’ai été amené à monter une structure de saut. Le saut en élastique m’a de suite contaminé car cela me permet de vider mon cerveau et de trouver une zen attitude après le jump.

Pourquoi as-tu voulu partager cette passion ? ?

Le bonheur que cela procure de permettre aux gens de dépasser leurs limites. Chaque client me remercie de lui avoir permis de passer un moment très intense et cela nous procure, à nous encadrants, une sensation de bien-être. Cela nous procure un vrai bonheur, à tel point qu’une fois la saison finie, je mets une semaine à reprendre une vie normale.

Parle-moi de ton aventure !

Pourquoi te lèves-tu le matin ? ?

Parce que je sais que je m’apprête à vivre des moments intenses et magiques au contact des clients.

Que t’apportent tes clients au quotidien ? ?

Une très grande fierté. Permettre à mes clients de dépasser leurs limites, ou celles qu’on leur a mises, cela me rend véritablement plus fort.

Quel est ton plus beau souvenir ? ?

Lorsque mon boss de la société ETAIR de cordiste m’annonce que je dois aller sur un chantier pour fixer une plateforme de saut en élastique en Ariège avec deux autres acolytes (1992). La plateforme de jump a été mise en place à 70 mètres de haut “tel un plongeoir”. Puis une fois la chose faite, il fallait tester la fiabilité de celle ci. D. TEODORI, de ELASTIC JUMP le créateur du site “La grotte du mas d’Azil”, nous a donc proposé en fin de chantier, de tester cette plateforme. C’était mes premiers jumps, le saut de l’ange, puis le back, puis le frayeur…. et de continuer à bosser pour lui en tant qu’encadrant, d’abord réceptionneur puis assistant puis responsable de séance… Et c’est en 2007 que cette personne qui m’a tout appris m’a accompagné pour l’ouverture du site du pont d’Asfeld. 

Quelle est la chose dont tu es le plus fier ? ?

D’avoir réussi à rouvrir le site d’Asfeld.

Quel est l’objet dont tu ne te sépares jamais ? ?

Un bout d’élastique ! Où que j’aille, j’en ai toujours un quelque part. Que ce soit dans ma voiture, à la maison, au bureau, partout !

Et dans le futur, ça donne quoi ?

A part la passion que tu partages actuellement, as-tu d’autres passions à nous faire part ? ?

J’ai d’autre passions, mais que je ne peux pas la partager aux clients. Le Ski extrême (Pisteur secouriste) en montagne , vtt engagé sportif , ou encore l’escalade et l’alpinisme.

Quels conseils donnerais-tu à une personne qui veut partager sa passion ? ?

De vivre au plus profond de soi sa passion, et d’en accepter tous les sacrifices que cela impose, même si cela en coûte.