Sauter en parachute en toute autonomie, c’est le rêve de beaucoup de personnes. Des formations telles que le stage PAC (Progression Accompagnée en Chute) ou l’OA (Ouverture Automatique) vous permettent d’apprendre les bases de ce sport extrême : les règles de sécurité, le matériel, quand ouvrir son parachute et comment le piloter, mais aussi comment atterrir, car oui, l’atterrissage est important et c’est même tout un art !

La technique de l’arrondi et du posé

Après toute la durée du saut en parachute, rythmée par les sensations fortes et le plaisir, il est temps de penser à l’atterrissage ! Un atterrissage parfait demande de l’expérience. Heureusement, le matériel actuel pour le parachutisme nous aide considérablement à le réaliser facilement.

Pour atterrir en douceur sur la terre ferme, on applique généralement une technique appelée “l’arrondi et le posé”.  Elle consiste à diminuer sa vitesse en tirant sur les deux commandes de manœuvre : la voilure prend alors une forme arrondie.

Ensuite, au moment du “posé”, les jambes doivent être souples et les genoux déverrouillés afin de minimiser le risque de blessures. Pour les débutants, il est conseillé de garder les pieds et les jambes joints. Évitez de regarder en bas : il est même préférable de regarder droit devant soi sans chercher à rester debout à tout prix. En touchant le sol, vous effectuez quelques pas.

Si vous souhaitez savoir comment se passe un saut en tandem au niveau de l’atterrissage, sachez que ce dernier sera réalisé par votre moniteur. Avant de partir, il vous expliquera quoi faire durant le briefing. Rassurez-vous, les professionnels maîtrisent sur le bout des doigts l’atterrissage, qui équivaut à un petit saut de moins d’un mètre.